Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 2.djvu/420

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DEUXIÈME VIEILLE.

Ne le sais-tu pas ? Viens ici.

LE JEUNE HOMME.

Que celle-ci me lâche donc !

TROISIÈME VIEILLE.

Ici, viens donc ici, près de moi.

LE JEUNE HOMME.

Si elle me lâche.

DEUXIÈME VIEILLE.

Non, de par Zeus ! je ne te lâcherai pas.

TROISIÈME VIEILLE.

Ni moi non plus.

LE JEUNE HOMME.

Vous seriez d’insupportables batelières.

DEUXIÈME VIEILLE.

Pourquoi ?

LE JEUNE HOMME.

En tirant les passagers, vous les mettriez en pièces.

DEUXIÈME VIEILLE.

Tais-toi, et viens ici.

TROISIÈME VIEILLE.

Non, de par Zeus ! mais vers moi.

LE JEUNE HOMME.

C’est vraiment ici le cas du décret de Kannônos : il faut