Page:Aristote - Politique, Thurot, 1824.djvu/77

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NOUVELLE ; TRADUCTION

DE L’ÉDITION grecque de ce traité, donnée en 1821 par Mr Coray (1), est celle que j’ai suivie dans celte traduction. Ce savant avait principalement pris pour base de son travail le texte de l’édition donnée, deux ans auparavant, par feu Mr Schneider (2), l’un des philologues et des érudits les plus distingués de l’Allemagne. Grace aux travaux et aux recherches de ces deux habiles éditeurs, le texte d’Aristote est devenu plus correct et plus facile à comprendre qu’il

(1) En voici le titre : API2TOTEAOY2 nOATIKflN ri. cw^&’|7.£va, êy.<5"i<^ov7 0ç YSJI ^IOÇGCDVTOÇ A. K.^ (pi).OTtp.w S’a.i^dvr, TCÛV cp.oycv5v, i-r/ àyaéû —f, ç Eu.’x&c :, c’est-à-dire : Ce qui reste des livres politiques d’Aristote ; de l’édition et avec les corrections de D. CORAY, (publié) aux frais de ses généreux compatriotes, ( les habitants de Scio), pour l’utilité de la Grèce. Un vol. in-8°. Paris, 1821, de l’imprimerie de J.-M. Eberhart, et se trouve chez Firmin Didot, père et fils, rue Jacob, n° 24.

(2) ARISTOTELIS Politicorum libre octo superstites. Groeca recensuit, emendavit, illustrant, interpretationemque latinam addidit JO. GOTTLOB. SCHNEIDER. Saxo. Deux vol. in-8°, imprimés à Francfort sur l’Oder (1819). lxxvj AVERTISSEMENT.