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Page:Aristote - Traité du ciel, trad Saint-Hilaire, 1866.djvu/409

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de certains éléments, qui sont les mêmes, et qu’ils sont formés d’une seule et même matière, bien que cette identité ne soit pas apparente.

§ 3<ref>Prises absolument, c’est-à-dire, comme on peut les observer dans les corps essentiellement pesants ou légers, la terre ou le feu. C’est toujours une pesanteur ou une légèreté relatives, puisqu’elles varient avec le nombre des triangles.

Dans l’état actuel des choses, le texte dit mot à mot : « maintenant. »

Toujours léger, et il représente alors la légèreté absolue. — La terre, qui représente la pesanteur absolue.

Comme le disent nos philosophes, et particulièrement Platon, dans le Timée, aux passages cités plus haut, p. 161 et 167 de la traduction de M. V. Cousin.

Et quand par hasard le mouvement du feu a lieu de haut en bas, le texte est beaucoup moins explicite.

Une plus petite