Page:Arkaï - Il, 1888.djvu/20

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Il*** dort.

Comme cuir au feu, s’humecte, se ride la peau de sa paupière. Et la poche mi-vive que du crin follet dore.

Il*** dort. Ce pendant Il*** bave, Il*** sue.

Collées à leurs commissures ses lèvres se baisent.

Ses pensées exhalées t’imprègnent d’un relent fort qui pue.

Au pays érotique, en les bras des incubes, en l’entre-seins des goûtes, Il*** se roule.

Rêve malsain !

À son cours vogue l’impubère : inerte souche.