Page:Arkaï - Il, 1888.djvu/27

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En le disant voilà que ton sonnet se fait :
Voilà, bon gré mal gré, ton désir satisfait :
L’homme de sa femelle est l’éternelle dupe.

Acquitte mon salaire en bel baiser comptant !
« C’est trop cher ! » réponds-tu. – Je boude mécontent.
Oh dis veux-tu ? sécher mes pleurs avec ta jupe ?