Page:Arkaï - Il, 1888.djvu/42

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Le ciel… Soudain tu vis un informe radeau
Qui — plus près — t’apparut comme le tronc d’un chêne.
Quand tu touchas la pierre où le liait sa chaîne
C’était un chien crevé qui puait à fleur d’eau.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .



La vermine sur la proie à déchiqueter…
Mais tu ne décris plus : tu fuis — la mort dans l’âme
Tandis que descendant sur la charogne infâme
Deux pigeons amoureux viennent se becqueter.