Page:Arnac - Le Brelan de joie.djvu/106

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dépendeur d’andouilles, d’enlever veste, cravate et gilet, et de pousser la sienne :


Qui prend trop vite femme,
Peste après dans son âme !

N’en prenez point de brune,
Car elle est trop commune

N’en prenez point de blonde,
Elle aime tout le monde

N’en prenez point de rousse,
Car trop elle se trémousse

N’en prenez point de grande…


Et il y en a, comme ça, qu’il ne faut point prendre, si long, si long, que la noce enfin crie :

— Assez !

Mais le croque-note n’en veut point démordre :


N’en prenez point de maigre,
Elle a le cœur trop aigre…