Page:Arnac - Le Brelan de joie.djvu/248

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qu’il les a vues et met la main au corsage. La pécore lui donne un soufflet.

— C’est, dit Jean-Jean, la méca- nique d’amour qui est démise !

Le meunier se frotte, la femme et Fânesse remontent l’une sur l’autre, l’âne reste veuf. Sauf que Maître Adam lui fait épouser la sanglade !

— Pourquoi ? dit Jean-Jean, n’a- t-il pas voulu tâter de la science de bourriques ?

L’eau qui tombe comme vache pisse l’arrête de sophistiquer. Il re- monte derrière son maître — lequel daube l’âne pour qu’il coure, après l’avoir daubé pour qu’il ne coure pas !

Arrivent ainsi tous quatre — le meunier, le valet, l’âne et la pluie — à un taudion hanté par une jeune veuve… Entendez que son mari venait de lui mourir ; pour le reste, elle était plus près de quinquagenta