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Page:Arnac - Le Brelan de joie.djvu/291

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que ce sont des dames qui ont pris le harnais de leurs chambrières…

Dames ou soubrettes, peu lui chaut, pourvu que ce soit à sa taille ! Elles aunent donc, en large, en long, et se retirent en disant :

— Vous au- rez tantôt, beaux habits !

Tout aussitôt, deux dames viennent à leur tour, et disent :

— Nous sommes les demoiselles de Madame, et venons vous toiser !

Le meunier ne s’y laisse prendre ; il devine, à leur dégaine, que ce sont des chambrières qui ont pris les atours de leurs maîtresses…

Ancelles ou dames, vogue la galère, pourvu qu’on l’affuble ! Elles toisent