Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/21

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Et c’est de là qu’un soir, à l’essaim des colombes,
Qui plane en tournoyant au sommet des monts bleus,
Se mêlera mon vol quand, par delà les tombes,
Je boirai la lumière à la coupe des cieux.