Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
90
LA MAISON DE GRANIT
Et quand viendrait la nuit, l’automne, le silence,
Nous nous avancerions, l’un à l’autre enchaîné,
Au-devant de la mort, avec la joie immense
Du bonheur qu’ici-bas nous nous serions donné.