Page:Arnaud - De la frequente communion, 1643.djvu/468

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tes de pechez, qui font perdre la grace du baptesme, soit publics, soit particuliers et secrets. Car outre ce qu’il dit contre ceux, que la honte empeschoit de se resoudre à ces exercices de penitence, et la comparaison qu’il apporte de ceux, (...) ; qui ayans contraéîé des maladics dans les partiesfecrettes du corps,n’oJent deſcouurìr leur mal aux Medecìns, & ſe laiſfent ainjt mourir miferablement auec cette mal-beureufe bonte ; & ce quil adjoute, Que lahonte ne nous prometpasvn grand aduantage en tenantnos Pechez fecrets, commes nous les pouuìons cacher a Dieu pour les auoir cachez aux hommes,& comme silvaloit m ’teux eftre condamné en Jecret, que d ejbre abfouspubliquement’, outre disje que cela monstre assez qu’il n’a pas dessein de parler seulement des pechez publics, qui ne sont pas cachez aux hommes, la seule suitte de son discours fait voir clairement, qu’il propose la penitence, dont il parle, pour remede necessaire à tous les pechez mortels. Apres avoir expliqué dans les six premiers chapitres la penitence des catechumenes ; dans le septiesme, pour passer à celle des baptisez, (...).QuilJéroit àſouhaitter que les Chreftcnsne connuffent, ny neuffent befoin de connoifîre rien dauantage de la Penitence. Quil a de lapeine d leur parler de la feconde, ou plujloji de la derniere efterance qui leur refte ; depeur que leur declarant, qu d 2 a encore vn r ourceux}