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Chap. X.
Réponse à ce que disent les géomètres à ce sujet
317
— XI.
La méthode des sciences réduite à huit règles principales
318
— XII.
De ce que nous connaissons par la foi, soit humaine soit divine
320
— XIII.
Quelques règles pour bien conduire sa raison dans la croyance des événements qui dépendent de la foi humaine
323
— XIV.
Application de la règle précédente à la croyance des miracles
326
— XV.
Autre remarque sur le sujet de la croyance des événements
332
— XVI.
Du jugement que l’on doit faire des accidents futurs
335
Notes sur la logique
339
DES VRAIES ET DES FAUSSES IDÉES.
Préambule. Que l’on croit avoir démontré que ce qu’en dit l’auteur du livre de la Recherche de la Vérité n’est appuyé que sur de faux préjugés, et que rien n’est plus mal fondé que ce qu’il prétend : « Que nous voyons toutes choses en Dieu. »
347
Chap. I.
Règles qu’on doit avoir en vue pour chercher la vérité dans cette matière des idées et en beaucoup d’autres semblables
348
— II.
Des principales choses que chacun peut connaître de son âme en se consultant soi-même avec un peu d’attention
350
— III.
Que l’auteur de la Recherche de la Vérité a parlé autrement des idées dans les deux premiers livres de son ouvrage que dans le troisième livre, où il en traite exprès
353
— IV.
Que ce que l’auteur de la Recherche de la Vérité dit de la nature des idées dans son troisième livre n’est fondé que sur des imaginations qui nous sont restées des préjugés de l’enfance
357
— V.
Que l’on peut prouver géométriquement la fausseté des idées prises pour des êtres représentatifs. Définitions, axiomes, demandes pour servir de principes à ces démonstrations
365
— VI.
Explications de ces façons de parler : « Nous ne voyons immédiatement les choses ; ce sont leurs idées qui sont l’objet immédiat de notre pensée ; et c’est dans l’idée de chaque chose que nous en voyons les propriétés. »
370