Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/16

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les couronnes et les sourires venaient chercher le poëte ? Ne peut-on se payer par un peu d’illusion, voire par un peu de satire, le décompte de ses espérances ; et, par impatience des justices futures, rêver ironiquement — le Paradis des gens de lettres ?

C. A.

Marly-le-Roy, 25 octobre 1861.