Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/103

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ment[1], le 23 janvier, Mme de Sévigné écrit à Bussy : « On me vient de conter une aventure extraordinaire qui s’est passée à l’hôtel de Condé. Mme la Princesse ayant pris, il y a quelque temps, de l’affection pour un de ses valets de pied nommé Duval, celui-ci fut assez fou pour souffrir impatiemment la bonne volonté qu’elle témoignoit aussi pour le jeune Rabutin, qui avoit été son page. Un jour qu’ils se trouvoient tous deux dans sa chambre, Duval ayant dit quelque chose qui

  1. Arrivé le 13 janvier, selon le journal de d’Ormesson.