Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/121

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aux bontés de la Princesse, seroit venu réclamer d’elle un nouveau don, et sur son refus l’auroit blessée de trois coups d’épée au sein droit ; et c’est pour lui sauver la vie que la Princesse auroit déclaré s’être blessée elle-même à son épée. Le page qui n’est point ici nommé, ne seroit survenu qu’après l’événement, aux cris de la Princesse, et lorsque l’assassin étoit déjà en fuite. La querelle, les épées tirées dans l’antichambre, etc., ne seroient donc qu’un mensonge charitable de Mme la Princesse de Condé pour sauver son assassin. Cette première note, que j’abrège de beaucoup, ajoute