Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/15

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pourrait le mieux se flatter d’en trouver. Par exemple, M. Cousin dans ses Études sur les Femmes illustres au temps de la Fronde, ne parle qu’en passant de la princesse de Condé, et seulement pour mentionner la déception causée par ce mariage politique au chevaleresque amant de Marthe du Vigean. Le moment, l’épisode où Claire de Maillé, réveillée par le danger, se montra la vraie fille d’un maréchal de France et la digne compagne d’un héros, est resté suspendu entre deux récits : La Jeunesse de Madame de Longueville, et Madame de Longueville pendant la