Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/93

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amoureux de Mme la Princesse, et lui rendoit ses devoirs avec soin ; ce n’en étoit pas une marque : l’on ne manque pas de les rendre aux personnes de cette qualité. La reine alloit tous les jours aux litanies à la chapelle, et elle se mettoit dans un petit oratoire, au bout de la tribune où les autres demeuroient ; et comme la reine demeuroit longtemps après qu’elles étoient dites, celles qui n’avoient pas autant de dévotion s’amusoient à causer, et l’on remarquoit que M. de Saint-Mesgrin parloit à Mme la Princesse. Pour moi, je n’en voyois rien ; car j’étois dans l’o-