Page:Aubert - Américains et Japonais, 1908.pdf/393

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

quérir et de veiller à la sécurité de ses frontières du côté de la Chine ; mais, en dépit d’intérêts évidents pour la paix, qui estimera précisément la force que peuvent avoir un jour les raisons d’orgueil chez deux peuples que le succès a gâtés, que le monde encense de louanges et qui n’ont jamais connu sur leurs territoires les douloureuses leçons d’une invasion ?