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GUSTAVE HALLER (FOULD)


D’abord, laissez-moi m’excuser de vous offrir un portrait qui ne donne qu’une bien vague idée de la beauté de Mme Gustave Haller.

Ce qui est le plus charmant chez elle, c’est une physionomie intelligente et rieuse, un regard profond, un sourire qui charme, des dents superbes ; mais le dessin, qui rend bien certains visages, est inhabile à fixer ces beautés insaisissables, cette mobilité d’expression, ce je ne sais quoi qui séduit.

Souvent, en dessin comme en photographie,