d’aperçu ; il était intitulé : le Professeur d’amour.
Un autre roman d’elle a obtenu un grand succès aussi, c’est Sternina, écrit dans le genre anglais.
Dans le Paris-Journal, ses chroniques de Cendrillon ont attiré l’attention.
En octobre 1875, Gustave Haller a publié chez Calman-Lévy un roman intime, avec préface de Georges Sand et un dessin de Carpeaux ; ce livre, intitulé les Bluets, a obtenu un si réel succès qu’en peu de temps douze éditions furent enlevées.
L’an d’après, son livre fort curieux, Vertu, en arriva, lui aussi, rapidement à sa huitième édition.
Mais le théâtre attire cet écrivain et cette artiste.
En 1870, elle a fait jouer à l’Odéon une comédie en quatre actes, pleine d’esprit et de gaieté ; voici ce que notre regretté roi de la critique, J. Janin, en dit dans son feuilleton des Débats du 10 février 1870 :
« La jeune Gustave Haller, du Médecin des