Page:Audubon - Scènes de la nature, traduction Bazin, 1868, tome 1.djvu/467

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coutume de pondre, soit immédiatement, soit au plus tard la saison suivante. Si ce fait est vrai, et je le crois tel, quelle nouvelle, quelle éclatante démonstration n’en résulte-t-il pas pour l’homme qui étudie la nature et qui a foi dans l’harmonie et la stabilité des dispositions que de toutes parts elle sait prendre ! Ainsi, voilà la tortue qui, comme les oiseaux émigrants, revient sans s’égarer aux mêmes rivages, et peut-être avec les mêmes transports qu’éprouve le voyageur lorsque, après avoir parcouru de lointaines contrées, il rentre une fois encore au sein de sa famille chérie !



FIN DU PREMIER VOLUME.