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Page:Augier - Théatre complet, tome 4.djvu/425

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Le Baron, bas, au vicomte.

Comment s’appelle ce monsieur ?

Le Vicomte, bas.

Je n’en sais rien, mais je soupçonne que c’est la comtesse de Folleville…

Le Général, de même.

Canaille !

Le Vicomte.

Oh ! général…

Il l’emmène au fond.
Le Baron, à part.

Un homme précieux ! S’il voulait dire un mot de mon salon ? (À Giboyer.) Je suis bourru au whist, monsieur, mais je ne le suis que là, et je serais très heureux que vous vinssiez vous en assurer à mes réunions du lundi.

Giboyer.

Monsieur…

Le Baron.

Mon salon a la prétention d’être le conservatoire de la causerie ; vous y prendrez une place brillante.

Giboyer.

À qui ai-je l’honneur ?…

Le Baron, tirant sa carte.

Baron de La Vieuxtour. Je compte sur vous, n’est-ce pas ?

Giboyer.

Mille grâces !