Page:Auguste de Gérando - La Transylvanie et ses habitants, 1845, Tome I.djvu/223

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amour. Quand nous l’eûmes dépassé, il n’en joua pas moins bravement, criant d’autant plus que nous nous éloignions davantage, peut-être pour me témoigner sa reconnaissance. Il se livra long-temps encore à ce violent exercice, même lorsqu’il ne nous était plus possible de l’entendre ; à la fin il se dirigea, toujours en gambadant, vers la Bohémienne, qu’il allait cette fois réveiller sérieusement pour lui faire part de l’aubaine qui leur était arrivée.