Page:Augustin Crampon - La Bible, édition en un volume, Desclée, 1904.djvu/523

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Chap. XIV, 34.

I=« LIVRE DES MACHAB£ES.

Chap. XV, 21.


viUcs de Judte, ainsi que Bethsur, situee a la Simon, mmd pretre et ethnarque des frontiere, ou se trouvaient auparavant les armes T„ ;r c B 2 * *„,, ;„ i„ ♦• i ? ^ -. des ennemis, et il y mit une garnison de trou- JU1Ii ?> ft a toute la na tlOn ; elle etait pes juives. II fortifia Jopp£, situee sur lamer, ainsi concue : et Gazara 1 sui "la frpntiere d’Azot habitee autre- L e roi Antiochus, a Simon, grand-pretre in :s par les ennemis ; etil y ftablit des Juifs, et et ethnarque, et a la nation des Juifs, saiut ! le, ; approvisionna de tputes les choses neces- Puisque J^ * m UtoM*& se sont empa^s du Sai T t A^k^ !^T T • .- ? CUple VU - a r °y aume d * nos peres, que je veux le revendiconduitede ; Simon et la glo : re qu ilse proposal t que r arm de le retablir tel qu’ii etait auparade donner a sa nation, et us le constituent , vant, et que j’ai rassemble des troupes nomleur chef et leur pnd pretre a cause de tons breuses et equipe beaucoup de vaisseaux de cesservices qu :! leur avaitrendus, et de la jus- guerr e ; a yam Intention de debarquer dans le ttce et de la fidehte qu il gaida envers sa na- pays po Ur tirer vengeance de ceux qui ontruine-

!T Ct ParC L q ", 11 "V" 1 }* de ’"i"’ mamerC , notre P a y sct <* ui °" devasU un grand nombre 

a elever son peuple. Pendant qu’,1 vecut, tout • de villes de ce royaume, je te cSnrme toutes prospera entre ses mains au point qu’il chassa l es remises de tribute iue t’ont accordees les les nations du pays qu elles occupaient, ainsi ’ rois mes prd decesseurs, et toutes celles de prt* que ceux qui e aien dans la cite de David a sents qu > lh t - ont CQnc ^ Je te pe rmet P de iT3 ^ic^.J ? S . ? lCnt co . nslruit " ne c " a " ! Wrapper monnaie a ton empreinte poufton pays, deile d ou lis faisaient des sorties, souillant les Que Jerusalem et le temple soieht libres ; que alencours du sandtuaire et profanant grande

men* sa saintetl. II y £tablit des guerriers

juifs et la fortifia pour assurer la defense du pays et de la ville, et il exhaussa les murailles ,. de Jerusalem. Le roi Deme’trius lui assura en 39 consequence la souveraine sacrificature ; il le


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X , 23. Dans la Vulg. ces di verses localites sont enumerees dans un ordre un peu different. . Cinq cents talents d*argtnt % d’apres la

valcur de notre ardent monnayl, feraient

4,350,000 fr., s’il s’agn de talents hebreux ; la moitii seulement, en talents grecs.

XVI, 3. Asset d , annies % pour ctre des hornmes et defendre votre pays.Ce membre -i. kinase ne se lit pas dans la Vulg. — De ton frirt : en syr. de mes/rires. La Vulg. * aussi le pluriel i/ratres met ; mais il f ?.t probablement lire, avec l’^dition de Com^utte, /ruin’s nut Le texte actucl devrait »e traduire : et (soyez) mes/rires*

toutes les armes que tu as fabriqu^es et les forteresses que tu as baties et que tu occupes te deraeurent. Que toute chose due ou a devoir au 8 tresor royal te soit remise des a present et pour toujours. Lorsque nous serons rentres en pos- 9 ./ 1 ’ • "", • ~7"i ", — ’ " ;~ session de notre royaume, nous t’honorerons declara son ami et lui accorda les plus grands magninquement, toi, ta nat on et le sanctuaire ? homieurs. Car U avait appmque les Romains , de telle sorte que voire gloire brillera dans ton appelaient les Juifs amis et allies et frfcres, et I l’univers. »*»««* u»«^ toui. quils avaient re^u honorablement les envoy^s

de Simon. — Les Juifs et les pretres ontrfW L an cent soixante-quatorze, Antio- 10 trouve bon que Simon soit prince et grand pre- chus se mit en marche vers le oavs de tre pour toujours. jusqu a ce que paraisse un ^ «x«^ ^ * A t _ t * • 1. prophete digue de foi ; qu’il commande leurs : ^ ^^ Ct t( } utes les troupes vinrent armdes ; qu’il ait le soin des choses saintes ; j ^ ranger aupres de lui, de SOrte que peu qu’il etablisse les officiers pour les services pu- d’homnies demeurerent a Trvphon leu b ^^l «^&CT^ryn ■ T A l*»*>»* m * a s « Poursuite, et ait le soin des choses saintes, qu’il soit obeide lr yP&on Vint en fuyant a Dora SUT tous, que tous les a<5les publics dans le pays la men Car il vovait que des maux 12 soiem ecrits en son nom,et qu’il spit revfitude samassaient sur lui et que son armee pourpre et d’or. II ne sera permis a personne I’ohnnrlnnn^ ;* A „+,Vt .h..* ««♦ <UU1TC du peuple ou d’entre les pretres de rejeter au- aban donnait. Antiochus Vmt camper 1 3 cun de ces points, de contredire aucun ordre ; devant Dora avec cent vingt mille comdonne par I ui, de con voquer sans sa permission battants et huit mille Cavaliers. II in- 1 4 aucune assembled dans le pays, de porter robe vestit la ville et ccimmo do* n-iviroc de pourpre ou agrafe d’or. Quiconque agira ^ ?" ^^ 7 , ^J ?^ , na J res contrairementacedecretouen violera quelque s a PP r °Cnerent du Cote de la mer, ll la article, encourra un chatiment. Il a paru bon pressa et par terre et par mer, ne Iais-S ^"^ d ’ i ? ves c t . £r Simon du i»uvoi’ d’agir sant personne v entrer ou en sortir. selon ce decret. Simon accepta ; il voulut bien roL*«J~~* ^«. :„a m «* a 1 u j remplir les fonaions de grand pretre, de chef n ^Pendant amverent de la Ville de 1 5 des armees et d’ethnarque des Juifs et des pre- Rome NumeniuS et Ceux qui Tavaient tres, et exercer le commandement ; supreme. accompagne, avec des lettres adressees On decida de graver ce document sur aux ro ’ s et aux pays ; en voici la teneur : des tables d ? airain,et deles placer dans la , Lucius, consul des Romains, au’roi Ptole’galcrie du temple, en un lieu apparent, 1 m ^ sal " 1 ! Les anibassadeurs des Juife se do etdVn ^prmcf-rnnrt r-rt« ; rt ^on- lo .JL^^uJL i sout rcndus aupres de nous comme nos amis et 49 CtU cndtposer une COpie dan a la chambrc I nos aUi ^ pour renouveler Iancienne amitie et UU iresor, pour servir a Simon et a Ses fils. ! alliance, ayant 6U envoyes par le grand pretre j Simon et par le peuple juif. lis ont apporte" CHAP. XV— XVI, IO. — Antiochus VII , un bouclier d’orde mille mines. Ces : pourreconnatt VautoriU de Simon, puis ( l u0 * JI nous a semble bon d’ecrire aux rois et malgriune Uttrc des Romains, Hen- S^J.T de nc - pas leur . ? user Pommage, • ? . j •> "w""’^"" ! «* e» de nattaquer nt eux, ni leurs villes, m leur .oie contre lui QencUbde qui est vatncu. pays, et de ne pas preter assistance a ceux qui ^ I e rni Antinrhnc file A* ru m £tt-.V* ’ cur fcraicnt Ia guerre. II nous a sembU bon .„, V -1 5 : nlS de Demetrius derecevoir d’eux ce bouclier. Si done des tnoya des lies de la mer une kttre a hommes pervers se sont enfuis de leur pays




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