dans presque toutes vos lettres. Je me flatte qu’elles se portent bien. La bonne vieille dame Bates. Je lui rendrai visite demain, et je mènerai tous mes enfans avec moi. Elles aiment tant à les voir. Et cette excellente demoiselle Bates ! Quelles bonnes gens, comment se portent-ils tous ? »
« Assez bien, ma chère ; mais la pauvre madame Bates a eu un terrible rhume il y a un mois. »
« Que j’en suis fâchée ! Jamais les rhumes n’ont été si communs que cette automne. M. Wingfield m’a dit qu’il ne les avait jamais vus si fréquens ni si dangereux, excepté lorsqu’il y avait une influenza. »
« Il y a du vrai en cela, ma chère, mais pas au degré dont vous parlez. Perry dit que les rhumes ont régné, en général ; mais qu’ils n’étaient pas à craindre comme ceux qu’il avait vus