Page:Austen - Le Parc de Mansfield tome1et2.djvu/111

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ris, qui semblait lire dans l’esprit de ses nièces et deviner le peu d’approbation qu’elles donnaient à un plan qui éloignait M. Crawford, se hâta de mettre un amendement à la proposition, « Il n’y a point de doute, dit-elle, de l’acceptation de M. Crawford ; mais pourquoi ne ferions-nous pas une petite partie ? Il y a ici plus d’une personne qui s’intéresse à vos embellissemens, et qui serait charmée d’entendre l’opinion de M. Crawford sur le lieu même. Pour moi, il y a long-temps que je désire faire une nouvelle visite à votre mère ; pendant que je resterais quelques heures avec elle, vous autres jeunes gens vous examineriez le terrain, et nous reviendrons dîner ici plus tard qu’à l’ordinaire ; ou bien si votre mère le voulait, nous dîne-