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Page:Austen - Le Parc de Mansfield tome1et2.djvu/22

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là des défauts incurables. Si mes filles eussent été plus jeunes qu’elle, j’aurais fait une attention extrême à cette introduction auprès d’elles d’une nouvelle compagne ; mais dans l’état où sont les choses, je crois qu’il n’y a rien à craindre pour mes filles, et qu’il y a tout à espérer pour leur jeune cousine, dans cette association. »

« C’est exactement là ce que je pense, dit madame Norris, et ce que je disais ce matin à mon mari. Il suffira que l’enfant soit avec ses cousines pour recevoir de l’éducation ; si miss Lee ne lui apprenait rien, ses cousines seules leur enseigneraient à être bonne et intelligente. »

« J’espère, dit lady Bertram, qu’elle ne tracassera pas mon pauvre