Page:Austen - Le Parc de Mansfield tome3et4.djvu/152

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que nous avons paru être à cette époque. C’est un moment que je ne puis me rappeler qu’avec déplaisir. Maria avait tort, Crawford avait tort ; mais personne n’était plus condamnable que moi. Comparés avec moi, les autres étaient irréprochables. Je commettais une sottise les yeux ouverts. »

« Comme spectatrice, je vis peut-être plus de choses que vous n’en remarquâtes. Je crois que M. Rushworth était quelquefois très-jaloux. »

« Cela est très-possible. Rien n’était plus inconvenant que toute cette affaire. »

« Avant la pièce, je suis bien trompée si Julia ne pensait pas que M. Crawford avait des attentions pour elle. »