Page:Austen - Love & Freindship and other early works.djvu/139

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Pour l'espace de dix-neuf ans, une femme dont les revendications de relation et de mérite étaient en vain, encore en tant que reine et en tant que celui qui a daigné à placer sa confiance en elle, avait tous les raison d'attendre assistance et protection; et en longueur en permettant à Elizabeth d'apporter cette aimable Femme à une intempestive, imméritée, et scandaleuse Décès. Peut-on s'il réfléchit mais pour un instant sur cette tache, cette tache éternelle sur leur compréhension et leur caractère, permettent éloge à Lord Burleigh ou Sir Francis Walsingham? Oh! que doit cette princesse envoûtante dont le seul ami était alors le duc de Norfolk, et dont les seuls maintenant M. Whitaker, Mme Lefroy, Mme Knight et moi-même, qui a été abandonnée par son fils, confiné par son cousin, abusé, reproché et vilipendé par tous, que ne doit-elle pas le plus noble esprit ont souffert lorsqu'ils sont informés qu'Elizabeth avait donné des ordres pour leur mort! Pourtant, elle l'a supporté avec une force inébranlable, ferme dans son esprit; constante dans sa religion; et se prépare à rencontrer le sort cruel à laquelle elle était condamnée, avec une magnanimité qui seul procède de l'Innocence consciente. Et mais pourriez-vous Reader l'a cru possible que certains protestants endurcis et zélés ont même abusé d'elle pour cette fermeté dans le Religion catholique qui reflétait tellement sur elle crédit ? Mais ceci est une preuve frappante de leur