de Kent et de Hertford, sur voyages, sur la vie sédentaire, sur quelques livres nouveaux, sur la musique, etc., il parla avec tant d’agrémens qu’Elisabeth ne s’étoit jamais tant amusée dans cette chambre. Leur conversation étoit si gaie, si animée, qu’elle attira l’attention de Lady Catherine et même celle de Mr. Darcy dont les yeux se tournoient fréquemment sur eux avec l’expression de la curiosité. Que dites-vous, Fitz-Williams ? s’écria enfin Lady Catherine à haute voix : de quoi parlez-vous ? Que dites-vous, Miss Bennet ? de quoi est-il donc question ?
— Nous parlons de musique, Madame, dit Fitz-Williams, lorsqu’il ne put plus éviter de répondre.
— De musique ! Oh, parlez plus haut, je vous prie ; de tous les sujets c’est celui que je préfère. Je dois prendre part à votre conversation, car il y a peu