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Page:Austen Lady Susan Watson Letters.djvu/123

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CONCLUSION

Cette correspondance, par la réunion de certains des protagonistes, et la séparation de certains autres, ne put, au grand détriment des revenus de l'Office des Postes, être poursuivie plus longtemps. Très peu d'aide à l'État dériva de la relation épistolaire entre Mme. Vernon et sa nièce ; car la première s'aperçut rapidement, par le style des lettres de Frederica, qu'elles étaient écrites sous le contrôle de sa mère ! et par conséquent, remit toute investigation au moment où elle pourrait la faire en personne à Londres, cessant d'écrire assidûment ou souvent. En ayant appris suffisamment entre temps, de son frère au tempérament si ouvert, de ce qui s’était réellement passé entre lui et Lady Susan, pour la faire sombrer encore plus dans son opinion, elle était plus anxieuse encore, de retirer Frederica d'une telle mère, et de la placer sous sa propre protection ; et néanmoins avec très peu d'espoir de succès, était résolue de ne rien laisser de côté qui put offrir une chance d'amener sa belle-sœur à y consentir. Son anxiété sur ce sujet la fit presser pour une proche visite ; et Mr. Vernon, qui, comme il était déjà apparu,