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XXVII
L’HIVER SOUS LE CHAUME
Enfin le rude hiver, ô mes vaillants fermiers,
Vous a faits paresseux, vous a faits prisonniers.
Chacun ferme sa porte et chez soi se retranche.
Il neige ! le vent souffle ; on gèle ; on est perclus.
Le chemin qui conduit à la ferme n’est plus
Qu’un petit sentier noir dans la campagne blanche.
Le soleil, mes amis, ne fait plus son devoir.
Ce qu’on appelle un jour, spectacle triste à voir,
N’est qu’un pâle rayon embourbé dans la nue.