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Page:Autran - Œuvres complètes, t2, 1875.djvu/66

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LA PORTE DU PRESBYTÈRE

Une voix grave et douce
Dit aussitôt : « Entrez ! »

Béni soit, porte aimée,
Ce bienfaisant accueil.
Ta bonne renommée
Se répand loin du seuil.

Petite et secourable,
Il n’existe à mes yeux
De porte préférable
Que la porte des cieux !