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Page:Autran - Œuvres complètes, t7, 1878.djvu/245

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XIII


MOLIÈRE



Saluons celui-ci. C’est un des génies de ce monde. Je ne vois rien au-dessus de trois ou quatre de ses comédies : Le Misanthrope, Tartufe, les Femmes savantes, L’École des femmes sont grandes comme des pyramides. Je reconnais que ses moindres œuvres contiennent des trésors d’esprit et de philosophie. Je ne pousse pourtant pas la dévotion aussi loin que certaines gens. Je lis Monsieur de Pourceaugnac et les Fourberies de Scapin sans me mettre à genoux.