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Du bien-être fervent apôtre,
Il soutient l’on, fait manger l’autre.
Ah ! ah ! ah ! oui, vraiment
Monsieur Calvet est bon enfant,[1]
Il voudrait que ses électeurs (bis)
Eussent ses goûts et non les leurs ; (bis)
Dans cette voie il les attire
En tuant le veau pour l’empire.
Ah ! ah ! etc.
Les paysans disent tout bas : (bis)
Mangeons notre part du veau gras ; (bis)
Monsieur Calvet pour le village
Ne fera jamais davantage.
Ah ! ah ! etc.
Une fois parti du pays, (bis)
Il ira nier à Paris (bis)
Que c’est au veau mis à la broche
Qu’il doit l’amitié de Baroche.
Ah ! ah ! etc.
Sans le rôti ce candidat (bis)
N’eut pas obtenu de mandat ; (bis)
- ↑ M. Calvet-Rogniat était alors le candidat officiel de l'Aveyron.