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Avec ces beaux joujoux-là
Bandits, ou vous mouchera :
À l’américaine, etc.




LA SOCIÉTÉ DES GOURDINS-RÉUNIS

Air : Veillons au salut de l’empire.


Veillons au salut de l’empire,
Veillons au maintien des Gandins ;
On aura beau faire et beau dire :
L’empire a besoin de gourdins.
Rallions-nous au chant des Pompiers de Nanterre ;[1]
Ce chant patriotique est bien digne de nous !
Vous verrez, à ce cri de guerre,
Paris succomber sous nos coups, (bis)

Saint-Gourdin il faut que tu croies
À nos privilèges sauvés ;
Le Capitule avait ses oies,
L’empire a ses petits-crevés.
Rallions-nous, etc.

Remplaçons la gendarmerie,
Par nos bons gourdins-réunis,
Basile est de la confrérie ;
Nous irons tous en paradis.
Rallions-nous, etc.

  1. Chanson que les orgues de barbarie rendirent populaire. (1869.)