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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/100

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90.

qui en justifient le but, que l’on parviendrait aux mêmes résultats dans diverses manières de foutre, (l’ordinaire, les inséparables, nos 1 et 2, ou toute autre où la femme est sur le dos, le cul un peu relevé par des coussins) pourvu que, si on voulait un garçon, la femme baissât le côté droit et relevât le côté gauche, et que l’on fit le contraire si l’on voulait avoir une fille.

LIV. Le matelas mobile.

L’homme se couche tout de son long sur un lit, faisant obélisque, c’est-à-dire le vit bandant et redressé en l’air, la femme monte sur lui et s’y place comme pour le pal en arrière no 20, puis quand elle s’est mis à elle-même le vit dans le con, elle allonge ses jambes et cuisses sur celles de l’homme, se penche aussi allongée le corps en arrière, couchée le dos sur la poitrine de l’homme vers lequel elle tourne un peu sa figure pour la livrer à des baisers. Elle est ainsi comme couchée sur un matelas, l’homme tout en lui faisant langue fourrée, lui patine les tètons, le ventre, la motte et le clitoris, en passant ses mains de derrière en avant par dessus le corps de la belle, les acteurs remuent doucement, car