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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/132

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122.

trou du cul qu’elle a si près de la figure, y fourre même sa langue ou un doigt mouillé et pelotte ses couilles avec ses mains qu’elle passe par derrière son amant. Ce jeu fait bientôt décharger ce dernier, qui arrose l’estomac, le ventre et le nombril de sa belle, par un ruisseau de foutre dont la pente du corps et le penchant naturel à cette liqueur, conduisent les flots vers la motte et le con.

V. La poste aux pommes d’amour.

C’est à peu près la même chose que le chef de division ou le nouveau busc (no 3) pour le résultat.

La femme est couchée entièrement sur une banquette, l’homme se met à cheval sur elle, les pieds par terre, à droite et à gauche, il lui tourne le visage, il place son vit entre ses tètons qu’elle presse elle-même de chaque main pour rendre étroit ce con postiche ; l’homme ayant ainsi les mains libres, les porte sur les appas qu’il a à sa portée ; il chatouille le bout de ces tètons qui lui pressent le vit ; il passe ses mains par derrière et badine avec le ventre et la motte de la dame, et finit enfin par inonder le col et le visage de cette dernière