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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/30

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20.

du produit de nos mutuelles décharges. – Es-tu content maintenant ? J’ajouterai si tu veux parce que celà est l’exacte vérité, que j’ai éprouvé autant de plaisir que toi, au moins, à tous ces dérèglements de passion luxurieuse, et que j’ai quelques fois désiré que tu aies cent vits pour les sentir tous à la fois me labourer en tous sens, et me noyer partout de foutre en dedans comme en dehors.

Charles. – Et moi, cher ange, je voudrais pouvoir réaliser cette idée et qu’il me fut possible en outre d’entrer tout mon être dans le tien, dans ta bouche, dans ton joli con, ton délicieux cul, et parcourir tout ton corps de mes mains et de mes baisers, en même temps que j’y lancerais des flots de foutre que tu me rendrais avec usure selon ton ordinaire.

Il y eut une lacune au dialogue, les personnages échauffés se mirent en action et se livrèrent à tout ce que la fouterie a de plus délicieux. Nos amants s’épuisèrent des décharges répétées, en cul, en con, en tètons et en bouche, ils se procurèrent des titillations délicieuses et sans nombre sur toutes les parties du corps et les terminèrent par un tête bêche (no 3, 2me Section, Chapitre Ire page)