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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/37

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27.

par le bas. Cette tention du filet et ces secousses, procurent une grande jouissance, et lors de l’éjaculation, le foutre s’élance fort loin en donnant un plaisir double, pour le chatouillement d’abord, qui est excessif, et ensuite par la vue de ces jets furieux de foutre.

Si l’on veut augmenter son plaisir la main gauche doit se promener en dessous des couilles, les presser doucement, les agiter, en tirailler les poils, aller le long du périné, chatouiller le trou du cul, y enfoncer même un doigt, après l’avoir mouillé de salive ; tout ces épisodes donnent au plaisir un aiguillon et des redoublements d’extase, qui hâtent l’émission du foutre et lui font acquérir les plus grandes douceurs.

Quelquefois le masturbateur prend à deux mains son vit qu’il agite de haut en bas découvrant et recouvrant le gland avec son prépuce jusqu’à décharge.

D’autrefois il découvre d’une main la tête de son vit, en tirant le prépuce du côté de la racine, de l’autre main il mouille de salive un doigt qu’il porte au filet tendu, et frotte doucement de haut en bas, surtout proche de la tête du vit, et tout autour de ce filet. La décharge est fort prompte et fort agréable de cette manière.