Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/58

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
48.

pour qu’il ne déconne pas et retire alors sa main conductrice, baisse sa poitrine sur celle de sa maîtresse, la bouche sur sa bouche, se soutenant au moins d’un de ses coudes, pour ne pas l’étouffer par le poids de son corps, il promène les mains sur toutes les beautés qu’il peut atteindre, et tout en lui faisant langue fourrée, c’est-à-dire se plongeant mutuellement la langue dans la bouche l’un de l’autre, le fouteur pousse et s’agite jusqu’à complète décharge de la part des deux acteurs, soit ensemble, soit l’un après l’autre.

II. Les Inséparables.

Cette posture est à peu près la même que la précédente, en théorie, seulement, quand la femme est une fois enfilée, elle étreint l’homme au con avec ses deux bras (qui étaient immobiles et allongés sur le lit dans la précédente) et aux reins avec ses cuisses et ses jambes qu’elle croise par dessus, ce qui n’a pas lieu non plus dans la précédente, et est bien différent pour la pratique quand au degré de plaisir surtout, car le vit entre bien mieux dans cette seconde posture que par la première. D’ailleurs cette première est généralement employée par les gens froids qui ne veulent pas qu’une femme remue pendant le coït,