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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/80

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70.

son amant, qui, couché sur le même côté qu’elle et le ventre vers son dos, lui lève la cuisse qui est en dessus et ne pose pas sur le lit, se place entre les deux cuisses ainsi écartées, en avançant ses jambes et genoux au-delà du corps de la femme et par devant elle, sa cuisse soulevée par l’amant repose alors sur sa hanche le cul de la femme se trouve en face du bas ventre de l’homme, qui dirige alors en levrette de derrière en avant dans son con son vit, l’y plonge jusqu’au poil, et fout dans cette position commode et peu fatigante. Ses mains étant libres il s’en sert pour pelotter avec tous les appas qui sont à sa portée, notamment ces fesses qui lui frottent le pubis et qu’il peut caresser et claquer à son aise. La femme sent bientôt l’effet que cela produit et éprouve elle-même les délices de la décharge, au moment où sa matrice est emplie par celle de son amant.

XXX. les petits Pâtés.

L’homme s’assoit sur le lit ou à terre, le dos et les reins relevés par des oreillers ou coussins, les jambes écartées et le vit en obélisque. La femme s’assied entre les cuisses, à cheval et passant chacune des siennes par dessus chacune de celles de l’homme, elle se met le vit dans le con en s’appuyant croupe à croupe, les deux amants entrelacent leurs bras et avancent l’une de l’autre leur bouche pour se faire langue fourrée,