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XXXIX. La Chevauchée.

L’homme s’assied sur le bord d’une chaise en avant, les épaules appuyées en haut du dossier, les genoux en avant ; la femme se met à cheval sur lui face à face, de manière de coiffer le vit avec son con, ses jambes passent derrière la chaise, elle étreint de ses bras autour du col l’homme qui se trouve avoir les tètons à la portée de sa figure, et qui de ses deux mains, après avoir guidé et placé son vit, parcourt ensuite tous les appas de sa belle qu’il peut palper avec facilité du haut en bas, il peut même lui donner le postillon. La femme peut aussi en baissant la figure sur celle de son amant qui relèverait la sienne, faire langue fourrée. Tous deux ensuite se secouent à qui mieux-mieux et ils en reçoivent la récompense par la décharge que chacun sent partir de ses canaux vénériens.

XL. La Clouée.

L’homme et la femme prennent la même position que dans la posture précédente, quand ils sont placés, que le vit est dans le con, l’homme soulève les cuisses de la femme, met chacun des jarrets de cette dernière sur ses bras à lui, qu’il pose sous les cuisses de la femme la soutenant des mains dessous les fesses et remuant le cul en haut et en bas, pendant qu’elle, pendue de ses