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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/97

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87.

pas difficile par la position qu’elle a prise. Quand les choses sont en place, la femme se laisse retomber sur l’entre deux des cuisses de son amant, qui porte alors ses deux mains à la queue de l’âne ; les amants font aller l’animal en serrant leurs genoux, ce qui en même temps soutient leur position, ils joignent aux sauts que l’âne leur fait faire en trottant, des mouvements de fesses à droite et à gauche qui augmentent leurs plaisirs, et quand ils sont prêts à décharger, l’amant tire la queue de l’âne, qui finit, tel patient qu’il soit, par ruer, ce qui fait entrer plus avant le vit de l’amant à la grande satisfaction des deux parties ; mais il ne faut pas perdre la tête au moment de l’éjaculation comme cela arrive quelquefois, car l’âne par ses ruades jetterait son fardeau à terre.

LI. la pièce en batterie.

La femme se couche le dos et les reins en travers sur le bord du lit, les jambes et cuisses dehors ainsi que le cul. L’homme placé en face d’elle et debout, prend de chacune de ses mains chacune des jambes de la femme au dessus de la cheville du pied, et les enlève le plus haut possible un peu en