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LE JOURNAL
DE
MADAME PRISCAILLET
e fut en l’an de grâce 18.. que
madame Adèle Priscaillet se dit
avec une tristesse fort légitime :
L’heure de déposer les armes sonne.
D’abondants flocons de neige attardés sur sa chevelure envahissaient les digues que Sarah Félix ou ses émules s’efforçaient en vain de leur opposer ; et autour d’eux bien d’autres symptômes significatifs lui