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Page:Bacon - Œuvres, tome 11.djvu/194

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8. Les voiles inférieures du grand mât, du mât de misaine et du beaupré, sont quarrées, et forment des espèces de parallélogrammes ; les voiles du milieu et les voiles supérieures (les huniers, les perroquets, le perroquet de fougue et la perruche) vont en se rétrécissant un peu par le haut ; mais la voile d’artimon est d’une forme aiguë à sa partie supérieure, et de forme triangulaire par le bas (sa forme totale est une espèce de trapézoïde).

9. Dans un vaisseau de douze cents tonneaux, ayant cent douze pieds de quille et quarante pieds de large, à l’endroit du plus grand renflement, telles étoient les proportions des différentes voiles. La grande voile avoit quarante-deux pieds de haut et quatre-vingt-sept pieds de large.

10. La hauteur du grand hunier étoit de cinquante pieds, sa largeur à sa base étoit de quatre-vingt-quatre pieds, et par le haut de quarante-deux pieds.

11. Grand perroquet, hauteur vingt--