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qui souffle tantôt avant, tantôt après le lever de la canicule[1] ; le vent d’ouest, après l’équinoxe d’automne[2] ; le vent d’est ou de nord-est, après celui du printemps[3]. Quant au solstice d’hiver, il est inutile d’en parler relativement à ces vents périodiques, vu les grandes et
- ↑ Qu’est-ce que le lever de la canicule ? C’est sans doute de Sirius qu’il veut parler ; étoile qui, ainsi que toutes les autres, se lève tous les jours durant toute l’année, et tantôt à une heure, et tantôt à une autre.
- ↑ C’est ce que les habitans de la côte de Bretagne, et sur-tout les marins de profession, appellent le coup de vent de la saint François ; c’est ce veut qui ramène dans les ports de Bretagne ou de Normandie, les vaisseaux de Terre-Neuve ; du moins ceux qui reviennent de cette île en ligne directe, et auxquels on donne le nom de sacs ou de saques.
- ↑ C’est cette bise qui souffle ordinairement vers le temps de Pâques : en 1785, un Météologiste Suédois prédit la semaine où il devoit souffler ; prédiction dont la justesse a étonné toute l’Europe, et nous a déterminés nous-mêmes à faire quelques recherches de ce genre.