Page:Baillon - La Vie est quotidienne, 1929.djvu/202

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un moment, que nos mains se touchassent :

Danke schön.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Je descendis un peu plus loin. J’eus de la chance, à mon tour, si je ne me cassai pas la figure.

— Un sale… commença la dame.

Si le Boche entendit, il sait l’espèce de sale que j’étais.