l’histoire, agrandie seulement aux proportions de la planète et non plus limitée à l’Atlantique, du fameux trust de l’Océan. Ce qui m’empêche de croire que le Maître de la Mer soit bien ressemblant au modèle et d’accord avec les événements, ce ne sont pas ses côtés délicieusement Jules Verne (l’homme certainement le plus qualifié pour raconter ces sortes d’aventures), mais c’est toute l’idéologie, tous les symboles que M. de Vogüé a introduits dans son histoire.
On s’imagine, en ouvrant le livre, qu’il ne va être question que des opérations inter-continentales du richissime Archibald Robinson (qui est appelé assez drôlement à un endroit, par un à-peu-près d’helléniste, Robinson Chrysoé). Et point du tout. Un conflit d’« idéal » s’en mêle. Une intrigue amoureuse déroule ses phases connues. On ne sait plus s’il s’agit du tendre Jean d’Agrèves ou d’Archibald